Que faire quand vos proches vous reprochent votre hypersensibilité?
C’est une question qui m’avait été posée lors d’un coaching. Nos proches peuvent avoir une sensibilité totalement différente de la nôtre. Cette différence peut-être d’autant plus difficile à vivre que nous avons souvent un besoin fort d’être compris par les autres, ce qui inclue nos ressentis.
Conseil 1: Accueillir votre hypersensibilité
Votre différence est aussi une force. Nous sommes tous différents et cette singularité est une véritable puissance. Plus vous vous autoriserez profondément à exprimer réellement qui vous êtes, et moins vous aurez besoin de l’approbation des autres. L’autre est souvent le reflet de ce que nous sommes. En vous autorisant à être vous-même, vous autorisez bien souvent les autres à l’être également.
Conseil 2: Faire preuve de pédagogie avec vos proches.
N’hésitez pas à exprimer vos ressentis et votre besoin. Communiquer sur vos différences de modes de fonctionnement et de ressentis peut aussi permettre une meilleure compréhension mutuelle.
Conseil 3: Apprendre à mettre ses limites vis-à-vis de nos proches.
Faire respecter notre territoire c’est réussir à poser nos frontières, à savoir faire respecter nos valeurs essentielles. Il peut s’agir de développer notre capacité à communiquer de manière assertive, mais aussi à être présent et centré dans nos corps énergétiques pour réellement être en capacité de faire respecter notre énergie.
Conseil 4: Travailler sur les parts de soi blessées.
Si le reproche d’un proche vous touche, c’est que certaines parts de vous ont pu être blessées par le non-accueil de votre hypersensibilité. Un travail thérapeutique permettra d’aller identifier ces parts blessées et de libérer les émotions liées pour garder votre calme lorsque ce type de situation survient.
Ces conseils vous ont été utiles? Super ! Si vous souhaitez aller plus loin, je vous propose d’échanger ensemble : https://calendly.com/laura-ballo1993/echangecoaching
Pour revenir à la page d’accueil: www.lauraballo.com
Découvrez l’article suivant : Le burn out : un risque pour les coachs et thérapeutes ?
